Condemnation by the French defense ministry of the duplicity of Supreme Council for Azawad Unity (HCUA), one of the main rebel groups that signed Mali peace agreement last year, has been received with mixed reactions among Mali observers.
There are some embers of hope for a return to peace and stability in restive northern part of Mali with provisional authorities jointly agreed to administer the five administrative regions in this part of the country.
A Malian pro-government militia has killed eight Islamist fighters in a gunbattle in northern Mali, two security sources said on Sunday.
Clashes between the militia and the Macina Liberation Front erupted on Saturday in Gourma-Rharous village, in the Timbuktu region of Mali which has long been plagued by Islamist militants, a military source and one from the militia told Reuters by telephone.
They had no details of how the clashes started.
This month marks the one-year anniversary of a fragile peace accord between the Mali government and Tuareg separatists. But after twelve months to make progress, you wouldn’t know it.
French forces had allegedly driven extremists out of northern Mali, but the attacks have not abated. Several extremist groups are still very active in northern Mali, with roots traced back to al-Qaeda. And they are causing problems for everyone.
One year on, Mali is still struggling to implement a fragile peace deal aimed at ending a cycle of internal uprisings and allowing the government to combat the growing threat of Islamist militants.
Periodic violence continues in the north, carried out by Islamist militants who have also staged a series of high profile assaults in Burkina Faso, Mali and Ivory Coast.
Political analysts say confidence has steadily been eroded, slowing peace initiatives on the ground.
El secretario general de la ONU, Ban Ki-moon, se declaró hoy "indignado" por los últimos ataques terroristas contra la misión de la organización en Mali y anunció que va a presentar propuestas para reforzar la operación.
Ban reaccionó así a dos atentados perpetrados este martes contra intereses de Naciones Unidas en el norte de Mali, que dejaron cuatro muertos y que fueron reivindicados por el grupo yihadista Al Murabitún, afiliado a Al Qaeda del Magreb Islámico (AQMI).
Naciones Unidas confirmó la muerte de cinco cascos azules originarios de Togo destacados en su Misión en Malí durante un ataque terrorista, ocurrido la víspera, perpetrado por personas no identificadas a unos 30 kilómetros al oeste de Sevaré, en la región de Mopti.
En un comunicado, el secretario general de Naciones Unidas (ONU), Ban Ki-moon, precisó que el ataque mortal fue una emboscada contra un convoy de la Misión Multidimensional Integrada de la ONU para la Estabilización en Malí (Minusma, por su acrónimo en francés) en el eje Tenenkou-Sevaré.
El grupo yihadista Ansar Dine reivindicó este jueves el ataque de la víspera en el noreste de Malí en el que murieron a cinco cascos azules chadianos.
“Nuestros muyahidines atacaron en nuestra tierra islámica de Adrar des Ifoghas [región de Kidal] a los militares que trabajan en el reagrupamiento internacional contra nosotros”, dijo Nourredine Ag Mohamed, un responsable de Ansar Dine, en una declaración a la AFP.
Les élections communales, régionales et du district doivent se tenir cette année. C’est le vœu du ministre de l’administration territoriale Abdoulaye Idrissa Maïga. Après plusieurs reports la classe politique est désormais très intéressée par la tenue dans les meilleurs délais.
L’Accord de paix constitue un véritable goulot d’étranglement pour les autorités maliennes. Pressées de toutes parts par la communauté internationale, la Médiation, la classe politique, la société civile et les groupes armés pour accélérer la mise en œuvre du document, l’Etat pose des actes qui semblent poser plus de problèmes qu’ils n’en donnent la solution. La mise en place des autorités intérimaires dans les régions du nord, prévue par l’Accord et dont le projet de loi vient d’être adopté par le gouvernement, est l’illustration parfaite de cet état de fait.
Depuis, les spéculations sur le gouvernement post accord vont bon train. Tous les jours, des confrères font entrer ou sortir, comme bon leur semble, des ministres du futur attelage, qui sera conduit par le Premier ministre Modibo Kéïta.
Sous les chaumières des environs de la capitale Bamako, comme Sanankoroba, Banankoro, Diallakorobougou, ou des capitales régionales comme Sikasso et Ségou, l’heure serait à l’affluence chez les marabouts réputés » puissants et faiseurs de miracles « . Des ministres en fonction, des anciens ministres et des cadres convaincus de leur » ministrabilité » se bousculent aux portillons pour être dans les grâces du pouvoir en cette avant-veille de la formation du gouvernement post- Accord de paix.
Le remaniement ministériel annoncé pour les jours à venir commence à donner des cheveux blancs au président de la République et au Premier ministre. En plus d’établir la liste des partants du gouvernement, précisément le cas de Bocary Tréta dont le maintien est exigé par des barons du parti présidentiel, les deux têtes de l’exécutif devront faire de la place aux ex-mouvements rebelles et à ceux de la Plateforme des organisations d’auto-défense qui ne veulent pas se contenter de strapontins.
Dans une récente interview après la signature de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali, le 20 juin dernier, par les désormais ex-rebelles séparatistes (?) de la CMA, le vice-président du MNLA, Mahamadou Djeri Maïga exprime toujours le vain espoir de voir les visées fédéralistes de ce groupe se concrétiser à travers son prétendu… « terroir de l’Azawad « . » Le Mali a tenté sans succès de se fédérer avec le Sénégal, avec le Niger et le Burkina, alors pour pas avec nous ?
Après la signature, le 20 juin, de l’accord de paix et de réconciliation de Bamako, le Mali est désormais engagé dans une nouvelle voie, celle de la refondation de la République. Cette refondation nécessitera une redistribution des rôles entres les acteurs et les artisans de cette paix acquise au prix d’énormes sacrifices.
Al menos doce personas murieron este sábado en un ataque de presuntos islamistas sobre la localidad de Nara, a unos 30 kilómetros al sur de la frontera maliense con Mauritania, según ha informado el Ministerio de Defensa.
El Ministerio informó de que los milicianos atacaron el campamento militar de Nada, aunque Souleymane Dembélé, un portavoz del Ejército, aseguró que también atacaron un banco. "Sus métodos indican una infiltración previa y una operación bien planeada", explicó.
Les fameux députés du RPM et leurs alliés de la majorité présidentielle n’ont pas joué leur rôle de représentation du peuple lors de la présentation de la DPG du Premier ministre Modibo Keïta. Le «Nous» des députés RPM et les allies a pris la place de la mission principales de nos chers députés de la majorité.
Activists and analysts in Mali hope that a landmark deal between the government and a Tuareg-led rebel coalition will bring stability to the north, the cradle of several Tuareg uprisings since the 1960s. But there is only cautious optimism that the Algiers Accord, signed this weekend will end years of unrest.
The UN-brokered peace accord calls for the creation of elected regional assemblies but stops short of autonomy or federalism, a long-time rebel demand.
La coalición rebelde tuareg Coordinación de los Movimientos del Azawad ha ratificado este sábado junto al Gobierno maliense el acuerdo de paz cuyos principios fueron aceptados el pasado mes de marzo, y que podría poner fin al último episodio de insurgencia separatista en el norte del país africano, que comenzó en 2012.
Los tuareg han estampado su firma definitiva en el acuerdo tras constatar la retirada esta semana de los grupo paramilitares malienses, afines al Gobierno, de la ciudad de Menaka, una condición indispensable para ratificar el pacto.
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