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Dans un communiqué diffusé ce vendredi 28 mars 2014 sur les ondes de l’Office de la Radiotélévision du Mali (ORTM), la présidence malienne a réagi et s’est montrée très agacée par les graves accusations de deux journalistes français.

Le principal challenge qui se posera à la Commission justice, vérité et réconciliation sera certainement la sélection des points essentiels à traiter

Les choses n’avancent pas dans les négociations entre le gouvernement et les bandits armés dont une partie participe aux négociations pour le retour de l’administration au nord et le cantonnement des combattants rebelles. Selon de sources concordantes, on évoque une division au sein du gouvernement concernant les concessions à faire

Après son élection contestée à la présidence de l’Assemblée nationale, on espérait que le beau-père du fils du président IBK allait donner tort à ses détracteurs : en mettant un point d’honneur sur la qualité de son travail et sur la bonne image du parlementaire malien. Surtout que dans son premier discours, il annonçait de belles choses.

Ouverte depuis le 1^er janvier 2014, par décret du Président  de la république, la première session extraordinaire de l’Assemblée nationale a fermé ses portes le vendredi dernier.

La réalité s’autorise parfois des rapprochements qu’envisagerait à peine l’imagination la plus débridée. Depuis 2012, le calendrier donne une double signification historique au 22 mars. Voilà déjà 23 ans que cette date rappelle à notre conscience un vendredi de funeste mémoire, un jour au cours duquel des dizaines de jeunes vies ont été fauchées par les tirs d’un service d’ordre lancé dans une mission qui n’aurait jamais dû lui revenir.

Un coup de tonnerre ? C’est même plus. Les révélations faites, le vendredi dernier par le journal Le Monde sur les relations entre un parrain de la mafia corse, Michel Tomi, et certains chefs d’Etat africains dont IBK, a fait l’effet d’une bombe à Bamako. Les Maliens sont encore sous le choc.

Si un homme politique étonne aujourd’hui par ses faits et gestes, c’est bien sûr le Dr Oumar Mariko, le seul à demander la libération du putschiste éventuellement assassin en l’occurrence Amadou Haya Sanogo. Pourquoi donc Oumar étonne ?

A la question posée par RFI  » Vous, le démocrate de la révolution de 1991, vous avez pris le parti d’un officier putschiste. Pourquoi cette volte-face ?  » Oumar n’a trouvé autre réponse que celle qui suit :

Les membres de la Haute cour de justice du Mali ont prêté serment le jeudi dernier à l’Assemblée nationale.