Profitant de la célébration du 1er anniversaire du Parti Social Démocrate Africain (PSDA), le Président de cette jeune formation politique, Ismaël Sacko, a réaffirmé le soutien de son parti aux actions du Président de la République et de son Gouvernement. C’était le 19 avril dernier, au cours d’une conférence de presse à la Maison des aînés.
Le PARENA a invité le RPM à un débat contradictoire, et une proposition a été faite dans ce sens à l’ORTM, indique un communiqué du parti en date du 22 avril. Mais jusque là, tout porte à croire que le RPM n’est pas enclin à un tel débat. L’invitation du Parena peine à trouver un répondant favorable, car le débatteur, côté RPM se fait désirer. Sauf changement de dernière heure, le Parena risque de se retrouver seul sur le plateau, faute de débatteur, aussi bien à l’ORTM qu’à la Radio Clédu. L’invitation du Parena risque de donner lieu à un rendez-vous manqué.
La campagne de calomnie déclenchée contre le Parena et son président, à la suite de la déclaration publiée sur les 7 mois d’IBK et le désarroi que cette publication a créé dans les rangs du pouvoir s’avèrent aujourd’hui un vrai bourbier de la communication du Rpm. Nous apprenons de très bonnes sources, qu’un membre du gouvernement a ouvertement reproché à la communication présidentielle d’avoir réagi comme « une bête blessée » et en « propagandiste ».
C’est à l’issue d’un Conseil de cabinet tenu hier à la primature que les ministres ont signé un document intitulé « Engagement éthique et de responsabilité du membre du gouvernement de la République du Mali ». L’objectif de cet acte est d’inscrire les actions des ministres dans un cadre moral, selon le Premier ministre Moussa Mara.
Modibo Keita qui vient d’être nommé « haut représentant de l’Etat pour le dialogue inclusif inter-malien » est un professeur de lettres à la retraite et ancien Premier ministre. Né le 31 juillet 1942 à Koulikoro, Modibo Keïta a fait ses études primaires dans la même ville entre 1950 et 1957. Ses études secondaires l’amèneront à l’école normale secondaires de Katibougou. En 1965, Modibo Keïta entame les études supérieures à l’Ecole normale supérieure qui furent sanctionnées par une maîtrise en lettres modernes en 1969.
Pour relancer le dialogue inter malien afin de résoudre la crise, un homme intègre et expérimenté a été nommé par le président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta en qualité de Haut Représentant du Chef de l’Etat pour le dialogue inclusif inter-malien. Il s’agit de Modibo Keïta, dernier Premier Ministre d’Alpha Oumar Konaré.
Le bureau de la Haute cour de justice (HCJ) a été mis en place mardi à l’issue d’un scrutin secret et à la majorité absolue des membres. Abderhamane Niang a été élu à l’unanimité président de la haute juridiction, apte à juger le président de la République et les ministres mis en accusation devant elle par l’Assemblée nationale.
Nommé PM il y a juste quelques semaines, les clubs de soutien et associations de Moussa Mara s’engagent à soutenir le jeune PM pour la réussite de sa mission. C’est en résumé ce qui est ressorti de la conférence de presse organisée le samedi dernier au carrefour des jeunes.
Fin mars 2014, une vive polémique fut entretenue par la presse. Des confrères de la place ont relaté que le ministre de la Justice, Maître Mohamed Ali Bathily, avait accusé le patron du parti URD, Soumaila Cissé, d’avoir, en tant que ministre des Finances d’alors, pris un arrêté pour s’adjuger 22,5 milliards de FCFA sur les fonds débloqués par la Banque Mondiale au profit des travailleurs compressés de l’Etat.
» La charte des partis politiques pour une relecture » tel était le thème de l’émission « questions d’actualité » sur l’Ortm, le dimanche 20 avril 2014. L’émission était présentée par Niaza Coulibaly de l’Ortm qui recevait, le secrétaire politique de l’Adema, Makan Moussa Sissoko, le secrétaire chargé aux élections du Parena, Dajié Sogoba, le 1er vice-président de la Concertation démocratique (CD), Aboubacar Diallo et Mamadou Seydou Traoré, personne ressource.
Après vingt trois années le mouvement démocratique, a abouti à la formation de plus de 170 partis politiques, et la création des centaines de radios privées de la presse écrite et privée à travers tout le pays. Cette situation suffise- t- elle à dire que le Mali est un pays de démocratie pluraliste ?
Certes, le bilan est mitigé, ce qu’on peut constater, ce qu’il y a eu des avantages, comme des obstacles ou des barrières à l’opposition.
Sur convocation du président de l’Assemblée nationale, les dix huit membres (les neuf juges titulaires et les neuf suppléants) de la Haute Cour de justice se sont réunis pour la toute première fois hier, mardi 22 avril dans la salle Haoua Kéita de l’Hémicycle. Un seul point à l’ordre du jour c’est l’élection du bureau de l’institution. A l’unanimité c’est l’honorable Abderhamane Niang du RPM qui a été élu président.
La guerre des communiqués continue entre le Parti pour la renaissance nationale (Parena) de Tiébilé Dramé et le Rassemblement pour le Mali (RPM) du président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita.
« Quand on a rien à dire, il faut se taire » ou « Quand on a le pantalon troué, il faut se réserver de monter sur l’arbre » ou encore « l’histoire rattrape toujours ses braconniers », a-t-on coutume de dire. Ces dictons collent bien à Tiébilé, lui qui a bien failli prendre en otage les dernières élections, lui qui a refusé de se présenter à la dernière présidentielle, est en panne d’initiatives et souffle le chaud sur notre pays au détriment des intérêts de notre peuple.
En politique, il y a des questions qu’il faut se poser pour comprendre le comportement des acteurs politiques et les contradictions qu’ils trainent derrière eux. Par exemple, qu’est ce qui oppose frontalement Ibrahim Boubacar Kéita à son prédécesseur Amadou Toumani Touré ? N’étaient-ils pas des alliés hier dans la gestion des affaires publiques du pays ?
Très prompts à accuser à-tout-va, les indélicatesses du ministre de la Justice pourraient lui coûter une procédure judiciaire. C’est du moins ce qui se susurre dans les milieux proches de l’Urd et de son autorité morale, Soumaïla Cissé.
À peine nommé au gouvernement qu’il a si longtemps convoité, ce nouveau ministre ne s’embarrasse pas de pudibonderie dans la jouissance des privilèges et avantages liés à sa nouvelle fonction. Avant même de bien s’installer, il s’est envolé à l’extérieur pour des soins médicaux aux frais du contribuable, comme s’il n’attendait que cette opportunité. Pour bien servir l’Etat, il faut être soi-même dans les de meilleures dispositions physiques. C’est la justification qu’il donne, à en croire nos sources, à ce manque de considération pour la chose publique.
Suite à la nomination de Moussa Mara, au poste de premier ministre, les volontaires du changement et le club de soutien à Moussa Mara en collaboration avec plusieurs autres regroupements dont l’association lumière ont organisé, le samedi 19 avril dernier, une conférence de presse au carrefour des jeunes.
Le Reporter : Quel était le but de cette rencontre avec l’Urd ?
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