Après Joumblatt, Berry présentera une nouvelle proposition cette semaine
Le texte du président de la Chambre prévoit la proportionnelle intégrale avec six circonscriptions.
Le texte du président de la Chambre prévoit la proportionnelle intégrale avec six circonscriptions.
Après avoir à diverses occasions soutenu le mode de scrutin proportionnel par le passé, les partis chrétiens ont opéré un revirement vers le modèle mixte ou le système à deux tours prévoyant la préqualification. Pourquoi les principales formations ont-elles ainsi tourné le dos à la proportionnelle ?
Sortir de l'impasse politique dans laquelle le dossier électoral est bloqué paraît de plus en plus difficile – mais non impossible – compte tenu des divergences de vues qui continuent de se manifester et qui rendent inévitable un report technique des législatives.
La boutade en vogue ces jours derniers sur la « aasfouriyé électorale », en référence au mythique asile d'aliénés, n'a peut-être jamais été aussi pertinente pour qualifier la situation, tant la compétition entre les efforts pour adopter une réforme du système électoral et le risque de vacance parlementaire reste de mise.
Après avoir approuvé le projet de budget 2017 et le plan du ministre de l'Énergie et de l'Eau, César Abi Khalil, pour l'amélioration de la production d'électricité, le gouvernement devrait désormais plancher sur l'étude des propositions de loi électorale.
C'est une loi intangible. Toute la philosophie du système électoral libanais depuis 1920 est fondée sur le principe du collège électoral unique. Cela veut dire que les communautés ne forment pas des collèges électoraux séparés et que les députés sont élus par les électeurs des différentes communautés.
Si d'aucuns estiment que les négociations politiques portant sur une nouvelle loi électorale sont tombées dans l'immobilisme, en attendant le retour du Premier ministre Saad Hariri et du ministre des Affaires étrangères, Gebran Bassil, de leur voyage en Égypte et aux États-Unis respectivement, le progrès pourrait bien émaner du courant du Futur qui aurait laissé entendre qu'il est ouvert à la proportionnelle intégrale, estimait-on hier
Dans le cadre des discussions autour d'une nouvelle loi électorale dans la perspective des législatives prévues en mai, le chef du Courant patriotique libre (CPL), Gebran Bassil, a présenté hier un nouveau projet « mixte », mêlant les modes de scrutin majoritaire et proportionnel.
Le nouveau projet Bassil prévoit d'élire la moitié des députés à la majoritaire et l'autre moitié à la proportionnell
Dans le cadre des discussions autour d'une nouvelle loi électorale dans la perspective des législatives prévues en mai, le chef du Courant patriotique libre (CPL), Gebran Bassil, a soumis lundi un nouveau projet de loi "mixte", alliant scrutins majoritaire et proportionnel.
Le président de la République, Michel Aoun, semble de plus en plus déterminé à ce qu'une nouvelle loi électorale soit votée. S'exprimant hier devant l'ancien Premier ministre Nagib Mikati, le chef de l'État a réitéré son refus de signer le décret de convocation du collège électoral conformément à la loi de 1960 (en vigueur).
Le mutisme le plus total prévaut depuis quelques jours autour de la réforme électorale qui semble reléguée au second plan, l'examen du budget lui ayant volé la vedette.
Des étudiants du parti Kataëb et du Parti national libéral (PNL), dirigés respectivement par les députés Samy Gemayel et Dory Chamoun, ont observé hier un sit-in devant le siège de la municipalité de Beyrouth, dans le centre-ville, pour exhorter toutes les formations politiques à « s'acquitter de leurs responsabilités envers le peuple et voter une nouvelle loi électorale ».
Depuis la résidence de l'ambassadeur de Grande-Bretagne à Yarzé et à quelques mois des législatives, Women in Front lance l'initiative « Les femmes parlent politique » et réclame un quota de 30 % au Parlement.
Dans le tintamarre entourant la réforme électorale, deux leitmotivs inconciliables résonnent: celui de la proportionnelle et celui du maintien la loi de 1960, quitte à y apporter des amendements.
La loi électorale est devenue indéniablement le sujet le plus en vogue. Il ne se passe plus un seul jour sans que ce thème ne fasse l'objet de déclarations, de prises de position diverses et de conditions placées par les uns et les autres.
Lebanon acquired a new 30-minister government led by Saad al-Hariri, bringing together the entire political spectrum except for the Christian Phalangist party that rejected the portfolio it was offered.
The new cabinet, which was announced on state television on Sunday evening, will keep Gebran Bassil as foreign minister, Ali Hassan Khalil as finance minister and Nouhad Machnouk as interior minister.
Pour la seconde journée consécutive, le bloc du Changement et de la Réforme a poursuivi hier sa tournée auprès des dirigeants politiques pour tenter d'assurer une sorte de large entente autour de la nouvelle loi électorale.
Une délégation comprenant les députés Ibrahim Kanaan, Ziad Assouad, Ghassan Moukheiber et Nehmetallah Abi Nasr s'est rendue hier à Saïfi et s'est entretenue avec le chef des Kataëb, Samy Gemayel. Étaient présents le ministre démissionnaire de l'Économie, Alain Hakim, ainsi que les députés Élie Marouni, Samer Saadé et Nadim Gemayel.
PM-designate Saad Hariri and Speaker Nabih Berri have agreed to meet when a new government formula is complete and when Hariri has finished the final touches of lining up the new cabinet, media reports said on Friday.
“Hariri and I have agreed to meet when he is ready. I will help him out if he needs my help. When you see him at my place, you should know that white smoke has billowed,” said Berri.
Le leader maronite a obtenu 83 voix sur 127.