INFOGRAPHIE. Législatives : découvrez les slogans des principaux partis
La campagne électorale pour les législatives du 4 mai a débuté ce dimanche 9 avril. Découvrez les slogans des principaux partis qui participent au scrutin.
Date: 09/04/2017
La campagne électorale pour les législatives du 4 mai a débuté ce dimanche 9 avril. Découvrez les slogans des principaux partis qui participent au scrutin.
Date: 09/04/2017
Les ministres-candidats aux élections législatives de mai 2017 sont mis en congé à partir du samedi 8 avril, sur décision du président de la République, a annoncé la présidence de la République dans un communiqué diffusé via l’agence officielle.
À moins d’une semaine du début officiel de la campagne pour les élections législatives du 4 mai, la plupart des partis engagés dans la course n’ont toujours pas dévoilé leur programme dans le détail.
Bien que le financement de la campagne électorale soit un facteur largement décisif dans les résultats des élections, la loi algérienne reste, curieusement, muette sur le contrôle des fonds mis à la disposition des candidats.
Le Parti socialiste des travailleurs (PST) compte bien donner un sens aux innombrables luttes enregistrées dans la sphère sociale, en se saisissant des prochaines élections législatives et de la tribune qu’elles offrent pour «faire entendre plus haut ce que pense le peuple d’en bas» et proposer une alternative à la voie libérale empruntée par le pouvoir.
Le ministre de la Communication Hamid Grine a adressé mardi 28 mars une circulaire à l'ensemble des médias dans laquelle il leur interdit de donner la parole aux boycotteurs des prochaines législatives, une mesure "anti-démocratique" selon des responsables de la presse.
Dix-sept listes de candidatures ont été validées en vue de participer aux prochaines élections législatives dans la wilaya de Skikda.
La liste est exclusivement féminine au FNA dans la wilaya de Chlef. Toutes les candidates ont des diplômes universitaires.
Avec ses 910 947 fans, la page Facebook du parti de l’ex-chef du gouvernement Ali Benflis Talaie El Hourriyet est classée première dans la catégorie partis politiques & associations.
Vous avez sûrement croisé ces affiches contenant des visages souriants, carte d'électeur en main, vous incitant à aller voter le 4 mai prochain à l'occasion des législatives. Petit souci, la plupart des modèles de cette campagne baptisée سمع صوتك ("Fais entendre ta voix"), ne sont pas des citoyens algériens.
Des signatures à un prix variant de 1000 à 3000 DA, des places sur des listes électorales cédées à 10, 20, voire 50 millions de dinars pour les têtes d’affiche, et une rémunération de 40 000 DA, voire 60 000 DA pour les «dénicheurs» de candidats pour boucler des listes électorales.
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) n’a réussi à valider que 13 listes de candidatures aux prochaines législatives.
C’est à un difficile numéro d’équilibriste auquel s’est lancé Djamel Ould Abbès lors de sa conférence de presse, tenue au Centre international des conférences, hier. Face au mécontentement des militants, le chef du parti a mis en avant sa méthodologie pour la sélection des candidats.
Dans son discours prononcé à Béjaïa, devant une salle moyennement remplie, Ali Benflis s’est contenté, comme à l’accoutumée, de critiquer le bilan de 17 années de règne du régime de Abdelaziz Bouteflika sur le pays et l’impasse politique qui s’est installée.
Le RCD a mis en garde, ce samedi 11 mars, « contre les tentations d’un modelage autoritaire du champ politique ». « Une telle opération, si elle venait à se produire, ne peut qu’approfondir la crise de confiance et de légitimité qui plombe l’action de l’État », écrit le RCD dans un communiqué qui a sanctionné la réunion mensuelle de son secrétariat national tenue vendredi à Alger.
Le Front des forces socialistes (FFS) dénonce le «silence complice de l’administration» face aux détenteurs de l’argent sale ayant imposé leur loi, lors de la collecte de signatures nécessaires pour la constitution des listes de candidatures aux prochaines législatives.
Il n’y a plus de morale politique ni de morale sociale en Algérie. Ces deux fondamentaux se renforcent avec le progrès et l’inverse est aussi vrai.
Abderrezak Makri, leader du Mouvement pour la société et la paix (MSP), a mis en garde, hier, contre une éventuelle fraude amputant sa formation politique de ses véritables voix.
Salima Ghezali, tête de liste du FFS à Alger pour les élections législatives du 4 mai 2017, a rencontré, ce mercredi 8 mars, des militantes et des citoyennes à Baraki, dans la banlieue sud-est de la capitale, avant d’animer une conférence au si