Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées ce matin du 05 avril, devant les deux sièges de la daïra et APC de M’chedallah sise à 40 km à l’est de Bouira, pour assister à un meeting du mouvement de l’Action nouvelle pour les valeurs de démocratie et de liberté (ANVDEL), qui prône le rejet des élections, sous le slogan « Pour une transition démocratique ».
Moussa Benhamadi, ex-ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, en campagne électorale pour le candidat Bouteflika, a été empêché, hier, de tenir son meeting dans la salle du cinéma de la ville d’Akbou.
Salles vides, candidats parfois peu crédibles, discours entendus...Puisque la campagne ne passionne presque personne, El Watan Week-end a choisi de la suivre en coulisses.
-Louisa et ses bodyguards :
Le clip à la gloire de Abdelaziz Bouteflika continue de faire des vagues. Après Kenza Farah, c’est au tour de Smaïn de prendre ses distances.
'' Le bulletin de vote demeure l’unique et ultime arme du peuple algérien pour recouvrer sa souveraineté et en finir avec l’actuel pouvoir'', selon Touati.
Le président du Front national algérien (FNA) Moussa Touati, candidat à l’élection présidentielle du 17 avril prochain, a appelé vendredi à Oran les Algériens à utiliser le bulletin de vote comme ''unique et ultime arme afin de recouvrer leur souveraineté''.
Belkacem Sahli, le secrétaire général du parti ANR a fait l’éloge du président Abdelaziz Bouteflika depuis Annaba le 2 avril.
Une cinquantaine de manifestants à Alger fin mars, quelques dizaines de personnes hier à Annaba, des centaines toujours dans la même ville jeudi dernier…
« L’Algérie est devenue, aujourd’hui, et tout le monde l’aura constaté, une force régionale reconnue même par les grandes puissances mondiales », a indiqué Sellal.
« L’Algérie se porte bien, Bouteflika aussi », a affirmé vendredi depuis Sétif Abdelmalek Sellal, directeur de campagne du candidat indépendant Abdelaziz Bouteflika, soulignant que l'Algérie est devenue une force régionale grâce à la politique prônée par Bouteflika depuis 1999.
A deux semaines du scrutin présidentiel, prévu le 17 avril, les représentants locaux des candidats en lice ont du mal à convaincre les électeurs de Sidi Bel Abbès.
Des centaines de personnes se sont rassemblées, hier, devant le siège de la wilaya de Béjaïa et ont marché pour exprimer leur «rejet des élections et du 4e mandat» et exiger «le départ du système», à l’appel de Barakat et du Mouvement pour le changement, qui a vu le jour récemment à Béjaïa.
Le bureau de permanence du candidat indépendant Ali Benflis, dans la commune de Houari Boumediène (wilaya de Guelma), a été saccagé dans la nuit de lundi à mardi.
A li Fawzi Rebaïne, président de Ahd 54, n’a pas mâché ses mots en accusant vertement les animateurs de la campagne électorale de Bouteflika qui continuent d’utiliser les moyens de l’Etat et l’argent du peuple pour mener leurs meetings.
Après l’Union européenne (UE), c’est au tour de l’ONG américaine National Democratic Institute (NDI) de décliner l’invitation des autorités pour l’observation de l’élection présidentielle du 17 avril prochain. Motif : délais insuffisants pour une observation de ce scrutin selon des standards internationaux.
Aucun des candidats n’a encore fait le déplacement à Béjaïa.
Des jeunes, chômeurs ou étudiants comptent organiser une marche ce jeudi 3avril à la ville d’El Esnam, à 7km à l’est du chef lieu de la wilaya de Bouira. Le collectif de ces jeunes a, dans un communiqué parvenue à notre bureau, lancé un appel à tous les citoyens de cette ville, à la société civile pour se joindre à cette initiative.
Le ministre de la Santé de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, a tenu à se démarquer de l’initiative prise par l’administration hospitalière de délivrer des invitations et des ordres de mission à des médecins et des paramédicaux pour assister à une prétendue rencontre avec le ministre, prévue à l’hôtel Riadh, à Sidi Fredj, alors qu’en réalité il s’agissait d’un meeting animé par le directeur de campagne du candidat sortant, Abdelmalek Sellal.
es réapparitions du chef de l’Etat agacent. Alors qu’il s’est éclipsé depuis plusieurs mois, Abdelaziz Bouteflika multiplie, depuis quelques jours, les initiatives (épistolaires) occupant ainsi un espace médiatique, particulièrement en cette période de campagne électorale.
L Le RCD, qui boycotte l’élection présidentielle du 17 avril prochain, estime que le pouvoir, par son entêtement à faire passer le 4e mandat pour Bouteflika, ouvre les «portes de l’enfer».
Au premier rang de la salle omnisports se tenait le professeur Abdelhamid Aberkane.
