Le SG du FLN réduit au silence
Après le message du président Bouteflika, le secrétaire général du FLN, Amar Saadani, recule.
Après le message du président Bouteflika, le secrétaire général du FLN, Amar Saadani, recule.
Le mouvement El Infitah, dirigé par Amar Bouaâcha, invite le Président sortant à ne pas rempiler pour un quatrième mandat.
La personnalité politique de la semaine a accepté de revenir, avec le franc-parler que nous lui connaissons, sur les événements politiques marquants. Après son entrevue avec Ahmed Gaïd Salah qui a suscité la polémique, la secrétaire générale du Parti des travailleurs explique le sens de sa démarche.
- Vous avez souvent critiqué les gouvernements qui se sont succédé, mais jamais le président Bouteflika. Si bien que certains y voient une ambiguïté dans votre relation avec le pouvoir. Que leur répondez-vous ?
Très attendue, la déclaration de Abdelaziz Bouteflika, lue hier à l’occasion de la Journée nationale du chahid, ne répond pas à l’une des plus importantes parties du puzzle : le chef de l’Etat sera-t-il, oui ou non, candidat à sa propre succession à la tête du pays ?
La transition démocratique avec le système est-elle possible et réalisable ?
L’ancien chef de gouvernement, Mouloud Hamrouche, dont la sortie politique de ce lundi a été perçue par beaucoup comme une déclaration d’intention de candidature à la présidentielle du 17 avril prochain, a levé un peu plus le voile sur sa feuille de route dans une déclaration au quotidien El Khabar, parue dans son édition d’hier.
Un réveil tardif et un discours dissonant aux accents de pompier pyromane.
Mouloud Hamrouche va se présenter à la présidentielle si l’armée ne présente pas un candidat, a-t-il affirmé, ce mardi 18 février, au journal arabophone El Khabar. « Je ne vais pas me présenter si l’armée présente un candidat », a-t-il indiqué.
En réponse à une question sur sa candidature en cas où le FLN présenterait son candidat, l’ancien chef du gouvernement affirme : « Ce n’est plus une condition ».
Pour la première fois, un secrétaire général du FLN met nommément en cause le patron du DRS. Quelle est la position du RCD sur ce débat ?
Malgré une forte délégation composée de membres du comité central, de députés et de sénateurs, les redresseurs du FLN n’ont pas pu remettre leur demande à la direction de la réglementation et des affaires générales de la wilaya d’Alger.
Le président Abdelaziz Bouteflika devrait annoncer sa candidature à l’élection présidentielle du 17 avril prochain dans moins de 72 heures, a appris TSA de source proche du chef de l’Etat. « L’annonce pourrait se faire mardi ou mercredi, mais au plus tard jeudi », a-t-elle ajouté. L’annonce interviendrait lors d’une intervention télévisée enregistrée, a précisé notre source, sans fournir davantage de détails sur le contenu du discours.
Les mosquées ne feront pas campagne pour un candidat à la présidentielle du 17 avril prochain.
Bouabdallah Ghlamallah, ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, a jugé utile de l’annoncer hier à Dar El Imam, en marge d’une conférence présentée par l’imam et prédicateur de la Grande Mosquée de La Mecque et conseiller au cabinet royal du royaume d’Arabie Saoudite, le docteur Salah Ben Abdallah Ben Hamid.
Le SG du FLN demande aux responsables de son parti de limiter leurs interventions, déclarations et débats «aux seules questions organiques.»
« Il est impératif que l’État préserve tous les droits et garantisse l’exercice de toutes les libertés ».
Mouloud Hamrouche est sorti de son mutisme ce lundi. Dans une déclaration répercutée par le site Maghreb Emergent, l’ancien chef de gouvernement de Chadli a prévenu que « Notre pays vit des moments sensibles qui vont conditionner son avenir immédiat et profiler irrémédiablement son devenir ». Un avertissement qui va, souligne-t-il, « au delà de la présidentielle, indépendamment du fait que le Président soit candidat ou pas ».
Après un silence déroutant de plus d’une semaine, le Premier ministre s’est exprimé hier sur la situation politique nationale, marquée par les graves attaques d’Amar Saadani contre le Département du renseignement et de la sécurité (DRS).
La guerre qui fait rage dans le sérail, étalant sur la place publique les divergences des segments du système, accroît le péril qui pèse sur le pays à la veille d’une élection décisive.
La directive de Amar Saâdani va à contresens de la campagne virulente qu’il avait menée lui-même, contre Mohamed Mediene, directeur général du DRS.
Le SG du FLN, Amar Saâdani a adressé, ce dimanche, une directive aux responsables des instances nationales et locales du parti les invitant à « cesser toute polémique politique ». Les secrétaires des mouhafadhas et les présidents des commissions transitoires doivent réserver leurs déclarations « aux seules questions organiques intéressant le parti et aux préparatifs en cours de la campagne électorale… ».
Le Forum des chefs d’entreprises (FCE) a convoqué une nouvelle assemblée générale extraordinaire pour mercredi 26 février afin de se prononcer sur la présidentielle du 17 avril prochain.
Dans l’invitation adressée le 12 février aux membres de l’AG, l’organisation patronale de Réda Hamiani précise : « en raison de l’absence du quorum à l’Assemblée générale extraordinaire du 10 février 2014, l’Assemblée générale est convoquée de nouveau, conformément à l’article 21 des statuts du FCE, le mercredi 26 février 2014 à 15h00 à l’hôtel Aurassi, niveau B ».
Alors que le FFS n’a pas encore tranché la position à adopter en prévision de l’élection présidentielle d’avril prochain, il vient d’être confronté à un refus du bureau de l’APN d’adopter deux propositions de loi émanant de son groupe parlementaire.
Le camp islamiste algérien semble s’être donné le mot. Après le MSP et Ennahda, c’est au tour du FJD de boycotter l’élection présidentielle du 17 avril 2014. Il vient d’ajouter son nom à la liste des grands absents de la présidentielle, aux côtés des deux partis islamistes et du RCD.
Après une concertation entre les membres de son Majliss Echoura (Conseil consultatif), le président du Front pour la justice et le développement (FJD), Abdallah Djaballah, a annoncé, ce vendredi 14 février au siège du parti, sa non-participation au scrutin. Ce qui n’est pas une surprise !