Tunisian prime minister resigns
Hamadi Jebali steps down following failed efforts to create a non-partisan technocratic government.
Hamadi Jebali steps down following failed efforts to create a non-partisan technocratic government.
Le compte à rebours en vue de la formation du gouvernement de compétences nationales non partisanes annoncé par Hamadi Jebali a-t-il commencé ?
Le chef du gouvernement provisoire, Hamadi Jebali, a réitéré, hier, à Dar Dhiafa, à Carthage, sa décision de former un gouvernement de technocrates dont les membres n’appartiennent pas à des partis politiques.
Dans une déclaration aux médias, Hamadi Jebali s’est dit convaincu de son choix qui constitue, selon lui, la meilleure solution pour éviter à la Tunisie davantage de tension.
Assassinat de Chokri Belaïd - Jebali formera un gouvernement de compétences nationales.
Tous les membres du prochain gouvernement, y compris le Premier ministre, ne seront pas candidats aux prochaines élections.
• Pour l’ouverture dans l’immédiat d’une enquête sérieuse
• Fournir la protection nécessaire aux personnalités politiques
• Ouvrir un dialogue national sur la violence politique
«Les dispositions de la nouvelle Constitution ne doivent pas être en contradiction avec le Coran et la Sunna, et ce, dans tous les domaines de la vie», a indiqué le bureau exécutif du Front arabe islamique, qui prône la réactivation de la Charia et le recours au coran et à la Sunna comme source de législation en Tunisie.
Le président du parti ‘‘El Aridha Echaabia’’, Mohamed Hachemi Hamdi, a appelé le gouvernement «à faire prévaloir l’intérêt supérieur du pays et à présenter immédiatement sa démission à l’Assemblée nationale constituante (ANC) en vue de former un gouvernement restreint composé de personnalités compétentes non partisanes, qui dirigera le pays jusqu’aux prochaines élections».
Chaque jour, de nouveaux sit-inneurs viennent se joindre à ceux déjà installés à la place de La Kasbah et depuis 16 jours. Le sit-in, dont les participants ne sont que d’anciens prisonniers politiques et des membres de leurs familles, a connu hier la formation d’un comité de soutien regroupant des hommes politiques, des représentants de la société civile et des personnalités nationales dont des artistes et autres. La principale et quasi unique revendication de ce sit-in est celle de l’activation de l’amnistie générale décrétée par le décret de février 2011.
Entretien avec : Saïd Aïdi, membre du bureau exécutif d’Al Joumhouri.
Démission du conseiller politique du chef du gouvernement.
Las revueltas árabes no han traído por ahora los empleos necesarios ni la ansiada prosperidad. Sí trajeron democracia, aunque acompañada de una desconocida inestabilidad política e inseguridad ciudadana. Pero las revoluciones también conllevaron una mejora tangible en cualquier calle u hogar de Túnez y de Libia: la libertad de expresión llegó de un día para otro aunque aún es imperfecta. Rápidamente proliferaron nuevos periódicos, emisoras y canales de televisión. Centenares de ellos han nacido en estos dos años. Otros se tuvieron que reformar.
Rassemblement de protestation des agents de l’ordre à La Kasbah.
L’amélioration de la couverture sociale et la revalorisation de l’indemnité de risque ont été parmi d’autres revendications des protestataires.
Le président de la République provisoire, Moncef Marzouki, a décidé de «prolonger l’état d’urgence du 1er février 2013 au 2 mars 2013», après s’être concerté avec le chef du gouvernement provisoire, Hamadi Jebali, et le président de l’Assemblée nationale constituante, Mustapha Ben Jaâfar, a indiqué hier un communiqué de la présidence de la République.
http://www.lapresse.tn/01022013/62016/letat-durgence-prolonge.html
L’Assemblée nationale constituante (ANC) a poursuivi, hier, la discussion des articles du chapitre relatif aux instances constitutionnelles dans le projet de Constitution après avoir examiné le préambule, les principes généraux et le chapitre des droits et libertés.
Les élus ont insisté sur l’impératif de séparer les instances constitutionnelles du pouvoir exécutif pour garantir leur indépendance.
Nadia Chaâbane (Bloc démocratique) a appelé à prévoir le principe de parité dans la composition des instances constitutionnelles.
Nida Tounès, Al Joumhoury et Al Massar créent un nouveau front politique et électoral.
Le président du Conseil de la nation, M. Abdelkader Bensalah a réaffirmé lundi, à Tunis, le soutien de l'Algérie à la Tunisie pour «mener à bien le processus de transition démocratique et aplanir toutes les entraves conjoncturelles».
«La troisième année de la révolution sera ponctuée par la fin de la rédaction de la première Constitution démocratique en Tunisie, où Islam rime avec modernité», a affirmé, vendredi, le président du mouvement Ennahdha Rached Ghannouchi.
«L’Islam est synonyme de justice et de liberté et ne s’oppose pas au pluralisme et à la démocratie», a-t-il lancé lors d’un meeting populaire à Raoued (gouvernorat de l’Ariana).
Ils sont venus de plusieurs gouvernorats, dont notamment Bizerte et Monastir, ils étaient environ 8.000 manifestants selon les organisateurs, et 2.500 selon la police.
Bien évidemment, les hommes et les femmes étaient séparés, les hommes devant les femmes derrière, répétant des slogans du type «Il n’existe de Dieu qu’Allah et la charia est le droit de Dieu».
Nous ne participerons pas à une élection ayant pour socle cette constitution
Il n’est pas question qu’il y ait une source juridique autre que celle de l’islam
Entretien avec Mme Naziha Rejiba (Oum Zied)