Ouverture de la session d’avril de l’Assemblée Nationale
L’ouverture solennelle a eu lieu lundi 7 avril en présence du nouveau Premier ministre, Moussa Mara et des présidents des parlements burkinabé et béninois.
L’ouverture solennelle a eu lieu lundi 7 avril en présence du nouveau Premier ministre, Moussa Mara et des présidents des parlements burkinabé et béninois.
Voici la liste du gouvernement malien (31 membres) formé vendredi sous la direction de Moussa Mara, ex-ministre nommé le 5 avril Premier ministre par le président Ibrahim Boubacar Keïta.
Cette nouvelle équipe, qui compte cinq femmes et quatre membres de moins que la précédente, a la particularité de ne comprendre aucun ministre délégué.
PREMIER MINISTRE : Moussa Mara (depuis le 5 avril 2014)
MINISTRES :
La démission tonitruante d’Oumar Tatam Ly et l’arrivée de Moussa Mara à la Primature continuent d’être au cœur des polémiques. En attendant la nouvelle équipe gouvernementale, dont la formation a pris du retard en raison vraisemblablement du voyage du Président de la République au 20ème anniversaire du génocide rwandais.
Comme d’habitude, depuis l’installation des membres du bureau de l’A.N et des différentes commissions, les élus du RPM, parti majoritaire avec 70 députés, se réunissent chaque mercredi. Et le Mercredi dernier, les élus ont eu l’insigne honneur d’avoir la visite du Secrétaire Général Dr Bocary Téréta. Naturellement, le choix de Moussa Mara a été discuté et sérieusement, selon nos informations. Mais, ce qui va créer l’ire des élus RPM, c’est la demande du parti de ne pas voter en faveur de la Déclaration de Politique Générale du nouveau PM.
La page des FARE est tournée chez le dinosaure politique, M. Zoumana Mory Coulibaly et ses camarades (des députés), ancien cadre ADEMA qui a démissionné de son parti pour aider Modibo Sidibé lors de la présidentielle de 2013. Votre journal l’a rencontré pour vous !
Parti définitivement des FARE…
Mali Demain : Votre départ des FARE est-il définitif ? Les rumeurs font état de votre arrivée au RPM. Quand est-il ?
L’ONG espagnole Cooperacció a organisé en 2013, plusieurs rencontres avec les organisations féminines maliennes, des ONGs de défense des droits des femmes et de nombreuses personnes ressources, afin de débattre et dedéfinir les actions prioritaires à mener le contexte actuel du Mali, à partir des besoins et intérêts exprimés par les femmes elles-mêmes.
Malgré le transfèrement de son siège dans la luxueuse bâtisse de l’ex-Primature, cette institution de la République du Mali est dans un silence et une torpeur sans précédent. D’aucuns estiment que la personnalité embarrassante de son président (jugé de griot d’ATT) lui colle à la peau, mais aussi, ses missions confiées à des conseillers qui n’ont plus rien à prouver aux Maliens, après tant d’années sans rien réussir.
Après la passation de service entre le Premier ministre sortant, Oumar Tatam Ly et son successeur, Moussa Mara le mercredi 9 avril 2014, le nouveau Premier ministre a prononcé dans la foulée son premier discours de politique générale, présentant les grandes orientations qu’il compte suivre.
Au lieu de s’attaquer aux vrais problèmes de la Nation et de les résoudre, pour l’honneur du Mali et le bonheur des Maliens, le pouvoir, après la démission du Premier ministre Oumar Tatam Ly, a choisi de s’installer dans l’invention de bouc émissaire. A travers de récents évènements juridico-politiques, le Président Ibrahim Boubacar Kéita se fait découvrir comme un chantre de la politique de l’autruche.
Cinq jours après le départ de son prédécesseur, le nouveau patron de la cité administrative, Moussa Mara, le nouveau Premier ministre a pris fonction. Cette occasion fut couronnée d’une conférence de presse le mercredi 9 avril dernier. Il a mis à profit cette première sortie devant les hommes de média pour dévoiler les objectifs qui lui sont assignés par le président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta.
La nomination de Moussa Mara à la Primature reste une pilule amère à avaler pour le Rassemblement pour le Mali (RPM).
Les amis d’IBK ont exprimé leur incompréhension et leur déception mercredi après-midi à l’émissaire du chef de l’Etat, le secrétaire général de la présidence Toumani Djimé Diallo, parti à leur rencontre à l’Assemblée nationale.
La session d’avril s’est ouverte le lundi dernier à l’Assemblée nationale. Elle est aussi la première session ordinaire de cette 5e législature. Son ouverture officielle était présidée par l’Honorable Issaka Sidibé, Président de l’Assemblée nationale, en présence de ses homologues du Benin, Mathurin Coffi Nago et du Burkina Faso, Soungalo Appolinaire Ouattara, du tout nouveau Premier ministre, Moussa Mara et des membres du Gouvernement.
C’est annoncé pour ce week-end, la mise en place du gouvernement de Mara.
Un gouvernement appelé à durer. Car, l’on ne se rend pas compte depuis le départ de Modibo Sidibé de la primature, aucun gouvernement au Mali n’est arrivé à faire une année pleine aux affaires. De celui de Mariam Kaidama jusqu’à celui de Oumar Tatam Ly. Cet état de fait aura été un facteur préjudiciable à la mise en œuvre et l’exécution d’un véritable programme de gouvernance.
Beaucoup s’y attendaient depuis janvier, quand le président de la République a dit publiquement qu’il renouvelait sa confiance en son Premier ministre, Oumar Tatam Ly. Ils s’y attendaient parce que c’est le genre de propos qu’un décideur tient à l’endroit d’un entraineur qu’il s’apprête à limoger parce que ne gagnant aucune compétition, aucun match.
La première session ordinaire de la 5ème législature s’est ouverte, le lundi 7 avril 2014 sous la présidence d’Issaka Sidibé, président de l’Assemblée nationale, en présence du Premier ministre, Moussa Mara, du président de l’Assemblée nationale du Bénin, Pr Mathurin Coffi Nago, et de son homologue du Burkina Faso, Soungalo Apollinaire, des présidents des institutions de la République et des membres du gouvernement.
Après la nomination du Premier ministre Moussa Mara, place aux consultations en vue de la formation du nouveau gouvernement. De sources proches de la cellule de communication de la Présidence de la République, l’équipe de Moussa Mara sera connue en principe cette semaine et le premier conseil des ministres se tiendra aussi cette semaine.
S’il est vrai que la nomination par IBK du jeune Moussa Mara, président du parti Yelema, comme nouveau Premier ministre de la République du Mali, fait grincer des dents, notamment au sein du parti présidentiel, le Rpm, ce n’est pas le cas dans nombre de formations politiques, notamment du parti Alliance pour la promotion et le développement du Mali-Equité (Apdm-Equité) du président Bandiougou Diawara.
La section ADEMA-PASJ qui a, pendant plus de vingt ans, gardé sa grandeur et sa force politique au Gabon, a renouvelé son bureau le 9 mars dernier à Libreville, en prélude au prochain congrès ordinaire du parti. Sans surprise, c’est Issa Diallo, un homme d’expérience et de consensus, qui a été élu comme le nouveau secrétaire général de la section.
De la Mairie de la Commune IV du District de Bamako, au Ministère chargé de la politique de la ville, le jeune Moussa Mara connaitra en espace de 7 mois, une surprenante ascension au soir du 5 avril 2014. En effet, le Président du Parti Yélèma, âgé de seulement 39 ans est bombardé à la primature pour succéder au P.M sortant Oumar Tatam Ly. Une nomination qui aura suscité une vraie colère et déception dans certains milieux surtout au sein du R.P.M, la famille politique du Président de la République.