La section Adema/ PASJ de la Commune VI du district de Bamako a un nouveau secrétaire général depuis le samedi 26 avril dernier. Son nom : Mahamane Mouhalmadane Touré, un militant jeune et engagé, élu à l’unanimité par l’ensemble des 58 délégués ayant pris part à cette Assemblée Générale.
L’UDD qui, autrefois constituait l’une des forces politiques de la commune VI, agonise en attendant de mourir de sa belle mort. L’un des rares cadres valeureux que comptait la section VI du parti de la colombe blanche vient de claquer la porte avec armes, bagages, compagnons, militants et soutiens. Il s’agit de l’ancien député Kalifa Doumbia. Une perte dont le parti de Moussa Balla Coulibaly mettra du temps à combler.
Le ministre de la Réconciliation Nationale l’a déclaré lors de la signature de l’Accord de partenariat entre le Collectif des ressortissants du nord (COREN) et le Collectif des associations de développement des cercles du Sahel occidental (CADSO), Samedi dernier à la Maison de la Presse, en présence de plusieurs personnalités, dont l’ancien 1erVice-président de l’Assemblée nationale, Younoussi Touré, quatre membres du Gouvernement, des anciens ministres et des députés.
Le Premier ministre Moussa Mara a rencontré les partis de la majorité présidentielle ce jeudi 24 avril, à Moribabougou. L’objectif de cette rencontre, première du genre, était d’institutionnaliser cette initiative afin de s’assurer de l’accompagnement de toute la majorité présidentielle.
La justice à ses troupes, ses amis putschistes en prison, royalement ignoré par IBK et Moussa Mara dans la formation du nouveau gouvernement, mais aussi et surtout son impopularité de plus en plus manifeste auprès des cadres de son parti (Sadi), etc., le tonitruant député de Kolondiéba connaît une descente aux enfers et s’achemine vers une mort politique prématurée. Explications.
Nous écrivions dans nos colonnes, le lundi 14 avril 2014, et à la Une de votre journal préféré «Section VI ADEMA/PASJ : Putsch manqué contre Harouna Cissé». Et bien, il semblerait bien cette fois-ci que les carottes soient cuites pour l’ancien ministre du Développement Social et ses acolytes, puisque la section a tenu le samedi 26 avril 2014 au Centre Olympa Africa de Banankabougou, la conférence élective de son nouveau bureau, après que le camp de Harouna Cissé ait opté pour la politique de la chaise vide, en raison de ce qu’il appelle la violation des textes du parti.
Les critiques du Parena sur la gestion d’IBK continuent de faire des vagues dans le camp présidentiel.
Ce n’est pas l’impasse provoquée par les affaires, l’intrusion de la famille dans les affaires de l’Etat et l’absence de vision et de programme dénoncées par Tiébilé Dramé et ses camarades qui font jaser au RPM, mais les réserves émises par le ministre de l’Economie numérique, de l’Information et de la Communication sur la riposte des amis du président qui provoquent le tollé.
Lisez le texte intégral du bureau Politique national du parti majoritaire. Réaction du RPM a la déclaration du Parena : « le Mali n’est pas dans l’impasse, c’est Tiébilé Dramé qui est aux abois».Dans une déclaration à nous envoyée par le Bureau politique national du Rassemblement pour le Mali (RPM) et signée de son premier secrétaire à la communication, Boubacar Touré, le parti présidentiel réagit vigoureusement à la déclaration du Parti pour la renaissance nationale (Parena) de Tiébilé Dramé diffusée la semaine dernière sous le titre : «IBK, sept mois après : le Mali dans l’impasse ».
Le chef du gouvernement veut imprimer une certaine célérité à sa gestion des affaires publiques. Nommé le samedi 5 avril et son gouvernement formé une semaine plus tard, soit le vendredi 11, Moussa Mara sera face aux députés à l’Assemblée nationale pour sa déclaration de politique générale le mardi 29 avril prochain.
Le Parlement malien est une chambre unique appelée Assemblée nationale. Les membres de l’Assemblée nationale, élus au suffrage universel direct, portent le titre de député. Les députés ont deux (2) fonctions essentielles : voter la loi et contrôler l’action du Gouvernement.
Le Premier ministre Moussa Mara était allé hier à la rencontre des partis politiques de la majorité présidentielle à l’auberge « Lagon », sur la route de Koulikoro. Il s’agissait, selon le chef du gouvernement, de la conception d’une feuille de route par rapport à cette période charnière que traverse notre peuple.
«Il ne s’agira pas d’une simple signature de document et de partir nous allons faire en sorte que tout le monde aille dans le même sens ».
C’est, du moins ce qu’à déclaré, le Premier Ministre hier juste après le Conseil de Cabinet qui a vu la signature par les ministres de son Gouvernement des 14 commandements appelés « Engagement d’Ethique et de Responsabilité du Membre du Gouvernement de la République ».
Suite à la publication, le 17 avril, du Mémorandum du Parena intitulé «IBK, sept mois après : le Mali dans l’impasse», le Bureau politique du Rpm a réagi à travers un communiqué dont le titre est : «Le Mali n’est pas dans l’impasse, c’est Tiébilé Dramé qui est aux abois».
Le président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta, a-t-il à son service une bonne cellule de communication? Beaucoup se pose la question, avec la multiplication des maladresses enregistrées ces derniers temps au niveau de ce service de la Présidence où le premier réflexe est désormais celui de répondre aux critiques faites au pouvoir et dans la posture d’un justicier…
Pour créer un climat de confiance et surtout de complicité parfaite entre l’exécutif et les partis politiques de la majorité présidentielle, le Premier ministre Moussa Mara a tenu hier, à l’espace culturel Le Lagon, sur la route de Koulikoro, un conclave politique d’échanges. Ces discussions, auxquelles la presse n’a pas été autorisée à assister, devraient permettre aux différents alliés politiques du pouvoir exécutif malien de se donner » une feuille de route » à quelques jours seulement du grand oral du chef du gouvernement devant l’Assemblée nationale.
Tout d’abord, il ressort que ce gouvernement est un signal fort du chef de l’Etat comme pour dire qu’il est le seul maître à bord! Une nomination qui ne s’appuie ni sur la représentativité politique en termes d’élus, ni sur sa propre appartenance politique.
Journée de grande mobilisation ce samedi 20 avril 2014 à Goundara, chef-lieu de la commune rurale de Kontéla, dans le cercle de Bafoulabé. Le jeu en valait certainement la chandelle, puisque Makan Traoré, ressortissant de la commune, élu à la faveur des législatives 2013, avait rendez-vous avec les populations pour une cérémonie de remerciements.
La guéguerre, entre le ministre de la justice, Me Mohamed Aly Bathily, et le chef de file de l’opposition, Soumaïla Cissé, semble connaître son épilogue. Car les accusations de M. Cissé pour détournement de fonds ont été battues en brèche. Ainsi, le ministre garde le profil bas pour éviter des ennuis judiciaires.
La semaine dernière, le Parti pour la renaissance nationale (Parena) a publié un document dans lequel il dénonce les dérives du pouvoir actuel. Dans le document intitulé « IBK, sept mois après, le Mali dans l’impasse », le Parena lance un vibrant appel aux forces politiques, économiques, sociales et culturelles du pays, à la société civile et aux leaders d’opinion à l’intérieur comme à l’extérieur afin que tous ensemble, nous conjuguions nos efforts pour stopper la dérive actuelle et remettre le Mali sur les rails pour préserver ses chances de se relever.
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