Dans un communiqué diffusé ce vendredi 28 mars 2014 sur les ondes de l’Office de la Radiotélévision du Mali (ORTM), la présidence malienne a réagi et s’est montrée très agacée par les graves accusations de deux journalistes français.
Le Parti pour la restauration des valeurs du Mali (PRVM-FASOKO) a un an depuis le 20 mars dernier et pour célébrer cet anniversaire, il a organisé une cérémonie suivie d’un point de presse samedi à son siège à Niamakoro.
Le principal challenge qui se posera à la Commission justice, vérité et réconciliation sera certainement la sélection des points essentiels à traiter
Le ministre de la justice, Mohamed Ali Bathily, n’arrête décidément pas de faire parler de lui. Il aurait récemment séjourné à Paris, où il aurait tenu une assemblée générale au cours de laquelle il a, semble-t-il, multiplié des attaques contre certains responsables du pays, dont Soumaïla Cissé.
Les choses n’avancent pas dans les négociations entre le gouvernement et les bandits armés dont une partie participe aux négociations pour le retour de l’administration au nord et le cantonnement des combattants rebelles. Selon de sources concordantes, on évoque une division au sein du gouvernement concernant les concessions à faire
Depuis quelques temps, des associations se réclamant du ministre Mohamed Aly Bathily procèdent à des campagnes de mobilisation pour soutenir le ministre de la justice dans « sa lutte contre la corruption ». Des sit-in avaient même eu lieu devant certaines juridictions de la place sans autorisation des autorités compétentes. Face à cette situation, le procureur Général près de la Cour d’Appel de Bamako a réagi.
Après son élection contestée à la présidence de l’Assemblée nationale, on espérait que le beau-père du fils du président IBK allait donner tort à ses détracteurs : en mettant un point d’honneur sur la qualité de son travail et sur la bonne image du parlementaire malien. Surtout que dans son premier discours, il annonçait de belles choses.
Il existe donc un ministre porte-parole du Gouvernement au Mali ! Sacrée bonne nouvelle ! L’on vient juste de s’en rendre compte ! Et il a fallu que le journal « Le Monde » passe par là afin que notre porte-parole apparaisse au grand jour sur les antennes de la télévision nationale pour tenter de nous faire avaler un communiqué insipide.
Ouverte depuis le 1er janvier 2014, par décret du Président de la république, la première session extraordinaire de l’Assemblée nationale a fermé ses portes le vendredi dernier.
Les députés qui ont clôturé leur session extraordinaire vendredi, se retrouvent cette semaine pour la traditionnelle session d’avril appelée session des lois
L’Assemblée nationale a clôturé vendredi la session extraordinaire consécutive à la mise en place d’une nouvelle législature en décembre dernier.
La réalité s’autorise parfois des rapprochements qu’envisagerait à peine l’imagination la plus débridée. Depuis 2012, le calendrier donne une double signification historique au 22 mars. Voilà déjà 23 ans que cette date rappelle à notre conscience un vendredi de funeste mémoire, un jour au cours duquel des dizaines de jeunes vies ont été fauchées par les tirs d’un service d’ordre lancé dans une mission qui n’aurait jamais dû lui revenir.
Devant les militants de son parti, l’URD, à Montreuil à Paris le samedi dernier, l’ex-candidat à la présidentielle de 2013, Soumaïla Cissé a fait des révélations sur les rapports entre la France, disons la communauté internationale et le MNLA et dénoncé la chasse aux sorcières dont sont victimes les cadres de l’opposition.
Un coup de tonnerre ? C’est même plus. Les révélations faites, le vendredi dernier par le journal Le Monde sur les relations entre un parrain de la mafia corse, Michel Tomi, et certains chefs d’Etat africains dont IBK, a fait l’effet d’une bombe à Bamako. Les Maliens sont encore sous le choc.
C‘est donc un nouveau désaveu pour le député de Kolondiéba, Oumar Mariko.
Si un homme politique étonne aujourd’hui par ses faits et gestes, c’est bien sûr le Dr Oumar Mariko, le seul à demander la libération du putschiste éventuellement assassin en l’occurrence Amadou Haya Sanogo. Pourquoi donc Oumar étonne ?
A la question posée par RFI » Vous, le démocrate de la révolution de 1991, vous avez pris le parti d’un officier putschiste. Pourquoi cette volte-face ? » Oumar n’a trouvé autre réponse que celle qui suit :
Incapable d’innover son discours et de l’adapter aux préoccupations de ses électeurs, le secrétaire général du parti Sadi n’a trouvé d’autres parades que de s’attaquer aux journalistes maliens au cours d’une mise en scène qu’il a appelée « meeting du MP22 » tenu samedi devant la radio « Kayira I » de Bamako. Mal lui en a pris. Comme un ivrogne en délire, Oumar Mariko cherchait ses arguments, et le cirque était d’un goût absolument déconcertant.
Les membres de la Haute cour de justice du Mali ont prêté serment le jeudi dernier à l’Assemblée nationale.
Il a fait tomber le général Moussa Traoré. Il a fait tomber le Général ATT. Or, selon l’adage, jamais deux sans trois.
La République du Mali a traversé une crise sans précédent, marquée par le coup d’Etat du 22 mars 2012 et l’occupation des 2/3 de son territoire. Mais force est de reconnaitre qu’elle n’est pas entièrement sortie de cette crise. Pour ce faire, nous avons approché l’Honorable Fatoumata Niambaly pour qu’elle puisse nous faire part de ses préoccupations.
