Explication du vote VRD : L’opposition vote non en raison des insuffisances de la DPG
Monsieur le Premier ministre,
Mesdames et messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs les Députés de la 5ème législature,
Monsieur le Premier ministre,
Mesdames et messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs les Députés de la 5ème législature,
C’est tard dans la nuit que les députés ont massivement accordé leur confiance au Premier ministre, Moussa Mara. En effet, par 121 voix pour, 22 contre et 0 abstention, ils ont autorisé le Premier ministre à conduire l’action Gouvernementale durant les prochaines années.
Mr Le Président de l’Assemblée Nationale
Mr Le Premier ministre
Mesdames et Messieurs les membres du gouvernement
Chers collègues députés
Un vieil adage dit que « Le Mali peut tanguer mais le Mali ne chavirera pas ».
Comme il fallait s’y attendre, la déclaration de politique générale du Premier ministre Moussa Mara, faite le mardi dernier à l’Assemblée nationale, a été adoptée par l’écrasante majorité des députés. La DPG a été approuvée par les députés le vendredi 2 mai, tard dans la nuit, par 121 voix pour, 22 voix contre et zéro abstention.
Le Premier ministre Moussa Mara, a présenté aux honorables députés de l’Assemblée Nationale le mardi 29 avril dernier la Déclaration de politique général de son Gouvernement. Dans un discours de plus de deux heures, le PM a promis d’œuvrer pour une politique qui redonnera au Mali, sa fierté et sa dignité.
Mais, pour l’opposition, son document de près de 70 pages et avec peu de chiffres donne l’impression d’un gros colmatage.
Le Mali est loin d’avoir sorti la tête de l’eau au moment où le Premier ministre tente de convaincre les députés de la pertinence de la politique générale du gouvernement. Le projet gouvernemental trouvera certainement sur son chemin des opposants prêts à se servir du quotidien des Maliens pour se faire entendre.
Jamais une campagne électorale, qu’elle soit présidentielle, législative ou communale, n’a éveillé dans le cercle de Niono une tension sociale aussi forte que celle des scrutins de l’année dernière. Le climat social s’est brusquement détérioré à cette occasion dans le cercle particulièrement dans la ville Niono. La tension montait d’un cran chaque jour. A l’origine de cette situation délétère, 2 radios privées : Kayira et Sahel.
C’est en principe ce matin que les élus de la nation se prononceront sur la Déclaration de Politique générale du gouvernement faite mardi dernier par le Premier ministre Moussa Mara.
Je commencerai par rendre grâce à Dieu comme je le fais tous les jours pour m’avoir permis d’exercer 10 ans de gouvernance locale et aidé à relever beaucoup de défis dans ma commune.
Excellence, je vous réitère mes remerciements et ma reconnaissance pour votre intervention personnelle auprès de vos militants en commune I qui m’a permis de renouveler mon mandat en 2009 à la tête du conseil communal de la commune I.
Aujourd’hui, vous me considérez comme une ennemie ? Non ! Détrompez-vous !
Elu sans un programme valable, IBK s’était appuyé sur un jeune technocrate pour se tirer d’affaires. De midi à quatorze heures, le bateau a chaviré et depuis OTL est la cible à abattre. Pour redorer le blason, appel fut fait au jeune ambitieux Moussa Mara, contre la volonté du parti, afin qu’il vient avec son programme. Le sauveur Mara peut-il réaliser ses ambitions face à une gestion patrimoniale de l’Etat ?
Nommé le 5 avril 2014 par le président Ibrahim Boubacar Kéïta, le Premier ministre Moussa Mara a présenté le mardi 29 avril 2014 à l’Assemblée nationale, la Déclaration de politique générale du gouvernement. Devant le Parlement national, le chef du gouvernement a annoncé d’importantes réformes, notamment la révision de la Constitution du 25 février 1992, ainsi que le processus électoral.
C’est un Moussa Mara très réconfortant qui était, avec toute son équipe au grand complet, face aux élus de la nation, hier mardi 29 avril 2014, pour présenter la déclaration du politique générale du gouvernement (Dpg). Un document de 69 pages qui touche tous les domaines de la vie du pays.
C’est exactement 25 jours après sa nomination (05 avril dernier) au poste de Premier ministre que Moussa Mara s’est livré à l’exercice démocratique traditionnel, qu’est de présenter sa Dpg. Un test grandeur-nature pour lui.
Le ministre de la réconciliation nationale, Zahabi Ould Sidi Mohamed, pense qu’il est plus que temps que l’ensemble des Maliens se donne la main pour la résolution définitive de la crise du nord, qu’il qualifie d’ailleurs d’épine. Selon lui, la crise du nord doit être mise au-dessus de nos querelles partisanes. Six (6) mois, c’est le délai qu’il se donne pour parvenir à un accord entre l’Etat malien et les groupes armés.
Le nouveau locataire de la primature sur les bords du fleuve Niger dans la cité administrative, n’a pas attendu un mois, après sa nomination par le Prési IBK, pour se présenter à la Place de la République en vue de présenter sa déclaration de politique générale (DPG) aux dépités tout en se soumettant à leurs questions. Le tout sera couronné par un vote de confiance.
Le ministre de la Décentralisation et de la politique de la ville, Ousmane Sy, un expert de la décentralisation, dira qu’au Mali, nous avons une diversité humaine et géographique. Et que, selon lui, ‘’si nous voulons un Mali uni, il faudra que nous acceptions les diversités’’, a-t-il martelé, samedi 26 avril 2014, lors de la cérémonie de signature de partenariat entre le Collectif des ressortissants du Nord (Coren) et le collectif des associations de développement du Sahel occidental (Cadso).
Après avoir visité les stands d’exposition de la 5ème édition du Salon international de l’agriculture de Bamako (Siagri) le mercredi, 23 avril 2014, au Palais de la culture Amadou Hampaté Ba, pour s’imprégner du travail abattu par le monde rural, l’ancien Premier ministre Modibo Sidibé, non moins président des Forces alternatives pour le renouveau et l’émergence (Fare-Anka Wuli), a re
Sitôt après la présentation de la déclaration de politique générale du Premier ministre Moussa Mara, nous avons joint au téléphone plusieurs hommes politiques de la majorité tout comme de l’opposition.
Aller de Sébénicoro à Koulouba a été un chemin glorieux pour le président Ibrahim Boubacar Keita. En effet, revenu de la solitude et de l’impuissance de l’éternel opposant jamais gagnant dans la course du pouvoir, il a été catapulté après le fameux coup d’Etat du capitaine Amadou Haya Sanogo, dans une irrésistible ascension sur la voie royale jusqu’au faîte du pouvoir, porté par un peuple quasi unanime.