Le président de la République signerait le décret portant convocation du corps électoral le 3 ou le 4 février prochain, apprend-on de bonnes sources.
Selon l'article 25 de la loi organique n° 16-10 du 25 août 2016 portant régime électoral, il e
Deux jours après l'installation de a Haute instance indépendante de surveillance des élections (HIISE), le Secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès, a révélé aux représentants de plusieurs organisations estudiantines au siège du parti à Hydra (Alger) que les prochaines élec
Sans surprise, le conseil national du Parti des travailleurs (PT), réuni en session ordinaire, vendredi et samedi, à Alger, a décidé de participer aux élections législatives d’avril prochain.
Le président de la République propose M. Abdewahab Derbal à la tête de la Haute instance de surveillance des élections.
Le départ de Amar Saadani ne serait pas un acte isolé. Il augure une longue liste de partants dans la sphère militaire et politique. Ces «purges» replacent le centre du pouvoir à El Mouradia, dont le locataire apparaît médiatiquement pour affirmer la légitimité des décisions qui devront tomber à court et moyen termes. L’option du 5e mandat se préciserait-elle ?
The chairman of the Constitutional Council, Mourad Medelci, has installed Sunday the institution's new members, the council said in a statement.
The installation came following the swearing-in, last Tuesday, of the new members before the president of the Republic, according to Article 183 of the Constitution.
The Constitutional Council is made up of 12 members.
The executive decree N° 16-210 of 27 July 2016 includes the list of Constitutional Council members:
Trois ans après son élection à la tête du FLN, Amar Saâdani quitte son poste de secrétaire général. Il a présenté sa démission, ce samedi 22 octobre, à l’issue des travaux du Comité central du parti qui s’est tenu à Alger.
À quoi sert-il de participer à des élections alors que vous êtes convaincus qu´elles seront truquées?
Ça repart. Amar Saïdani tire sur sa cible favorite, Toufik Mediène. La vie politique algérienne est ainsi faite
La question des élections législatives divise les partis de l’opposition.
SAIDA- Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a assuré mercredi, depuis la wilaya de Saïda, que l'Algérie abordait une année électorale "qui mettra en avant la classe politique", appelée à privilégier le "dialogue sérieux" à la "surenchère".
M. Sellal a précisé, dans une déclaration à la presse en marge de sa visite de travail dans cette wilaya, que l'Algérie "aborde une année électorale qui mettra en avant en premier lieu la classe politique, le rôle du gouvernement, s'y résumant à la préparation matérielle et à l'organisation".
L’Instance de suivi et de coordination de l’opposition (ISCO) a clôturé son deuxième congrès, mercredi dernier, par un appel.
Le projet de loi portant révision de la Constitution a été adopté, hier, à la majorité absolue par 499 voix, rejeté par deux autres alors que 16 parlementaires se sont abstenus de voter.
Farouk Ksentini and Rekhila Ameur affirmed Thursday that the draft revision of the Constitution enshrines the principles of democracy and the foundations of a new political, social and cultural life.
In a statement to APS, the chairman of the National Consultative Commission for Human Rights Protection and Promotion (CNCPPDH) Farouk Ksentini underlined that "with its political, social and cultural three-dimensional structure, the draft revised Constitution proposed a modern constitution which enshrines a new political life."
ALGIERS, Algeria (AP) -- He was known as the "Lord of Algeria" and was the longest serving intelligence chief in the world - a J Edgar Hoover-like figure who dominated Algerian politics and had files on everyone.
Yet on Sunday, Mohamed "Toufik" Mediene was summarily fired by President Abdelaziz Bouteflika, ending his 25-year tenure at the head of Algeria's fearsome intelligence service, the Directorate of Intelligence and Security.
Vingt personnes ont été condamnées, ce mardi 28 juillet, à des peines allant de 18 mois à trois ans de prison ferme pour attroupement armé au cours des violents afrontements qui ont endeuillé la Vallée du M’zab, a-t-on appris auprès d’un avocat de la défense. « Un détenu a été condamné à 18 mois de prison, un deuxième à deux ans de prison et tous les autres ont été condamnés à trois ans de prison ferme », précise la même source.
Les services de sécurités ont arrêtées deux personnes, âgées respectivement de 29 et 50 ans, à Ghardaïa, annonce, ce lundi 13 juillet, un communiqué de la police. « La première faisait l’objet d’un mandat d’arrêt délivré par la justice ». Il est soupçonné d’appartenir à « une association de malfaiteurs », ajoute le communiqué. Il également poursuivi pour « tentative d’homicide volontaire et attroupement armé ».
L’opposition réagit à la main tendue d’Ahmed Ouyahia, chef de cabinet du président Abdelaziz Bouteflika et patron du RND.
L’intervention de l’armée à Ghardaia se précise. Le président Bouteflika a décidé, mercredi, de mettre en place la haute Commission sécuritaire et militaire. Elle est « chargée de travailler en coordination avec la quatrième région militaire pour suivre la situation au niveau de la wilaya » de Ghardaïa, confrontée aux violences intercommunautaires.
